11 mars 2008
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11 Mars 2008
Le soleil se lève sur le port de Santos qui se dévoile à nos regards encore ensommeillés lorsque nous ouvrons notre rideau. Et l'activité matinale est déjà intense. Les bacs qui transportent les habitants d'une rive à l'autre entrecroisent les narives qui se dirigent vers le port marchand.
Le petit déjeuner est rapide ce matin car nous devons libérer la cabine de bonne heure afin de la laisser au personnel qui doit préparer la prochaine croisière ... L'écoulement vers le quai est fluide, mais retrouver ses bagages à la gare maritime est un peu long ; on voit bien les expérimentés qui semblent plus efficaces que les notices dont nous sommes. Et atteindre le bus qui doit nous reconduire à l'aéroport de Sao Paulo semble enfantin car l'organisation est bien rodée, mais imaginez le nombre de bus pour les 2300 passagers ! Enfin nous y sommes, nous retrouvons nos compagnons Marie Pierre et Sylvain ainsi que Ruth et Dorly . Tous les passagers de ce bus semblent prendre la même avion pour Milan.
Traversée du port ; le plus important d'Amérique latine dont l'activité est essentiellement tournée vers l'exportation de produits agricoles : céréales, sucre et jus de fruits. Les silos sont colossaux, et certaines cours d'entrepôts sont surprenantes, avec des pieds de maîs un peu frèles, mais bien alignés ! Et nous reconnaissons les quartiers de la ville que nous avions traversés il y a trois semaines. Cette ville a été fondée dans la première moitié du 16ème siècle, et vit aujourd'hui de tourisme balnéaire, de pêche et de services. Elle n'a que 460 000 habitants et semble bien petite à côté de Sao Paulo, mégapôle de 11 millions d'habitants.
Nous reprenons l'autoroute la plus récente, construite dans les années 70 alors que nous étions descendus par l'ancienne construite dans les années 40 et que nous apercevons audessus de nos têtes. Les montagnes qui nous entourent font partie d'un parc national et la végétation est particulièrement protégée. Les fleurs de Carème sont beaucoup plus nombreuses que lors de notre premier passage.
Favelas (enfin communautés), places, espaces verts, monuments à la gloire des conquérants du 16ème siècle et des colons qui les suivirent, et même en souvenir du massacre des Arméniens par les Turcs, palais et couvents hispanisants nous accompagnent jusqu'à l'aeroport où nous devons attendre notre premier vol; Sao Paulo-Milan et où commencent une longue période pour rien. Je n'apprécie plus bien de prendre l'avion, et passer une nuit même à remonter vers l'est est un avatar nécessaire à supporter pour aller au bout du monde, mais dont je n'ai rien à dire de plus !
Voilà, c'est fini. Nous sommes revenus à la maison, contents de retrouver notre ami Roland qui est venu nous chercher à la gare, et Marie un peu plus tard qui nous accueille pour un agréable dîner amical !
C'est vraiment bien les amis qui nous font nous sentir bien chez nous ! Un de ces jours nous allons faiire un grand voyage avec eux ... Mais c'est déjà un autre voyage !
Le soleil se lève sur le port de Santos qui se dévoile à nos regards encore ensommeillés lorsque nous ouvrons notre rideau. Et l'activité matinale est déjà intense. Les bacs qui transportent les habitants d'une rive à l'autre entrecroisent les narives qui se dirigent vers le port marchand.
Le petit déjeuner est rapide ce matin car nous devons libérer la cabine de bonne heure afin de la laisser au personnel qui doit préparer la prochaine croisière ... L'écoulement vers le quai est fluide, mais retrouver ses bagages à la gare maritime est un peu long ; on voit bien les expérimentés qui semblent plus efficaces que les notices dont nous sommes. Et atteindre le bus qui doit nous reconduire à l'aéroport de Sao Paulo semble enfantin car l'organisation est bien rodée, mais imaginez le nombre de bus pour les 2300 passagers ! Enfin nous y sommes, nous retrouvons nos compagnons Marie Pierre et Sylvain ainsi que Ruth et Dorly . Tous les passagers de ce bus semblent prendre la même avion pour Milan.
Traversée du port ; le plus important d'Amérique latine dont l'activité est essentiellement tournée vers l'exportation de produits agricoles : céréales, sucre et jus de fruits. Les silos sont colossaux, et certaines cours d'entrepôts sont surprenantes, avec des pieds de maîs un peu frèles, mais bien alignés ! Et nous reconnaissons les quartiers de la ville que nous avions traversés il y a trois semaines. Cette ville a été fondée dans la première moitié du 16ème siècle, et vit aujourd'hui de tourisme balnéaire, de pêche et de services. Elle n'a que 460 000 habitants et semble bien petite à côté de Sao Paulo, mégapôle de 11 millions d'habitants.
Nous reprenons l'autoroute la plus récente, construite dans les années 70 alors que nous étions descendus par l'ancienne construite dans les années 40 et que nous apercevons audessus de nos têtes. Les montagnes qui nous entourent font partie d'un parc national et la végétation est particulièrement protégée. Les fleurs de Carème sont beaucoup plus nombreuses que lors de notre premier passage.
Favelas (enfin communautés), places, espaces verts, monuments à la gloire des conquérants du 16ème siècle et des colons qui les suivirent, et même en souvenir du massacre des Arméniens par les Turcs, palais et couvents hispanisants nous accompagnent jusqu'à l'aeroport où nous devons attendre notre premier vol; Sao Paulo-Milan et où commencent une longue période pour rien. Je n'apprécie plus bien de prendre l'avion, et passer une nuit même à remonter vers l'est est un avatar nécessaire à supporter pour aller au bout du monde, mais dont je n'ai rien à dire de plus !
Voilà, c'est fini. Nous sommes revenus à la maison, contents de retrouver notre ami Roland qui est venu nous chercher à la gare, et Marie un peu plus tard qui nous accueille pour un agréable dîner amical !
C'est vraiment bien les amis qui nous font nous sentir bien chez nous ! Un de ces jours nous allons faiire un grand voyage avec eux ... Mais c'est déjà un autre voyage !